“Avec le cuivre, découvrons la nature” –  c’est notre leitmotiv.

HomeKupferAnton_french_tvJardiniers amateurs, jardiniers, agriculteurs, pépinières ou agriculteurs bio – tout le monde qui travaille dans l’agriculture est maintenant concerné par les conséquences de la fertilisation excessive et de l’usage de pesticides. C’est la raison pour laquelle ils veulent dissoudre les contaminations dans l’eau, la nourriture et la zone germante si vite que possible et cultiver le sol en harmonie avec la nature – servant à la bonne santé des plantes et à une bonne productivité du sol.

La réalimentation du cuivre à la biospère nous offre „de l’eau vivante & de la nourriture vivante“ dans une manière très simple.

C’est la raison pour laquelle le cuivre et les outils en cuivre sont utilisés fréquemment comme des outils efficaces dans l’agriculture biologique – même dans le jardin, à la maison, dans l’étang et comme des casseroles dans la cuisine.

Viktor Schauberger (1885 – 1958) et beaucoup d’autres naturalistes ont constatés que le cuivre peut servir à de multiples usages; il améliore la qualité du sol, il favorise la croissance et l’arôme ainsi que la santé des plantes.

Nous aimerions de vous informer sur tous les sujets concernant le cuivre et l’agriculture naturel sur les pages suivantes. Vous trouverez des rapports de fond et beaucoup de renseignements pratiques pour l’agriculture, le jardin, l’étang, la maison et la cuisine sur notre page WEB d’information. Si vous êtes très intèressé à ce sujet, il sera possible pour vous de devenir interlocuteur du cuivre et des outils en cuivre dans votre pays. N’hesitez pas de nous contacter !

Accompagnez-nous et découvrez avec nous la nature!

 

Anton Willi GehlenMonsieur Gehlen, vous avez fondé en 2002 la société « Kupfer Anton ». Quelles furent vos motivations ?

Le nombre des jardiniers et agriculteurs qui aimeraient travailler leur sol en harmonie avec la nature – sans renoncer pour autant aux bons rendements et à la bonne santé des plantes – ne cesse d’augmenter. Les outils en cuivre offrent à ces personnes une solution simple et efficace.

J’ai aussi l’intense désir de rendre accessible à la compréhension du plus grand nombre les avantages que présentent ces outils et la façon dont ils agissent.

De plus, il n’existait jusqu’à présent que des outils en cuivre adaptés au jardinage. A présent, notre équipe a développé, fabriqué et testé sur le terrain des herses et des charrues en cuivre destinés à l’agriculture biologique. Nous offrons ainsi aux agriculteurs bio la possibilité d’améliorer très simplement – et durablement – la qualité et la productivité de leurs sols.

 

Comment avez-vous pris connaissance de Viktor Schauberger, des outils en cuivre ?

Dès l’enfance, j’ai senti à quel point les êtres humains étaient reliés à la nature et aux animaux à travers la nourriture.

Ce n’est donc pas un hasard si j’ai choisi de travailler dans ce domaine. Je suis mécanicien de machines agricoles et, en tant que tel, j’ai fondé dans les années soixante deux entreprises de vente et réparation d’outillage de jardin et de matériel forestier et agricole. J’ai dirigé ces entreprises pendant près de quarante ans avec succès.

Il y a sept ans, au cours d’un voyage d’agrément à Salzbourg, j’ai rencontré un agriculteur bio qui expérimentait des outils en cuivre. J’ai tout de suite été intéressé par la chose et me mis d’emblée à cultiver mes 3000 m2 de jardin avec ces outils, échangeant mes expériences avec d’autres utilisateurs et notre enthousiasme ne cessant de croître d’année en année.

En 2002, à l’âge de 65 ans, j’ai remis mon affaire entre des mains plus jeunes. J’avais enfin le temps et le loisir de me consacrer entièrement à mes convictions nouvellement acquises et c’est ainsi que l’entreprise « Kupfer Anton » vit le jour.

 

Que cache l’appellation « Kupfer Anton » ? Une personne ou une chose ?

Anton est depuis des années mon ami et fidèle compagnon. Il m’accompagne dans mes voyages d’investigations et répond à la plupart de mes questions. Nous partons ensemble à la « découverte de la nature ».

C’est lui aussi qui m’a facilité l’approche du monde de Schauberger. Grâce à lui, j’ai acquis peu à peu une meilleure compréhension des thèses de ce naturaliste.

D’ailleurs, il ne s’agit pas uniquement de Schauberger, mais de l’ensemble des processus à l’œuvre sur cette terre, car mon ami Anton possède ce que l’on appelle une pensée globale.

Depuis quelques temps, je m’entretiens beaucoup avec mon ami Anton. Nous sommes souvent ensemble et j’apprécie de plus en plus ses qualités. Il répond à mes questions par des conseils et m’explique les rapports qui existent entre les choses. Il attire aussi mon attention sur les erreurs et les impasses. Il est très affectueux, patient et fidèle. Jamais importun, il ne cherche pas à imposer ses idées. La plupart du temps il est plein d’humour, mais peut aussi être sérieux. Jusqu’à présent, il ne m’a jamais fait de critiques et ne s’est jamais montré de mauvaise humeur. Bien sûr il est quelquefois triste quand je retombe dans les vieux clichés et ne peux m’empêcher de vouloir discuter et contester.

Un jour que nous devisions à propos du cuivre, nous avons émis ensemble l’idée que j’allai désormais pouvoir appeler mon ami Kupfer Anton, étant donné que notre principale préoccupation tournait autour du cuivre et de ses merveilleuses propriétés. C’est ainsi que Kupfer Anton, devenu un ami plus proche encore, est entré dans ma vie comme aide et conseiller.

Vous savez maintenant pourquoi j’ai eu le grand plaisir de donner son nom à mon entreprise.

 

Viktor SchaubergerViktor Schauberger
(1885 – 1958)

“On pense que je suis fou,
peut-être est-ce vrai
et, dans ce cas, peu importe
qu’il y ait un fou de plus ou de moins dans le monde.

S’il s’avérait cependant que j’aie raison
et que ce soit la science qui se trompe,
puisse le Seigneur avoir pitié de l’humanité.”

L’autrichien, Viktor Schauberger, était naturaliste et inventeur. Forestier de métier, il observa la nature pendant des dizaines d’années, pour remonter aux sources de la végétation, de la vie et du mouvement.

Il prit exemple sur les processus naturels pour élaborer des techniques modernes. Son leitmotiv était : « comprendre la nature pour la copier », ce qu’il sut faire mieux que personne. L’eau était pour lui l’élément central. Il lui consacra toute son attention et nombre de ses méditations. Il ne voyait pas seulement en elle le support de toute vie, mais celui de l’ensemble de la conscience terrestre.

Ses contemporains, formés aux sciences académiques et techniques traditionnelles, critiquèrent ses procédés peu scientifiques.

Sans se laisser impressionner pour autant, il mit en garde dès le début du vingtième siècle contre les conséquences de l’exploitation intensive de la terre, de la forêt et de l’eau, ainsi que contre celles de l’énergie atomique, de la déforestation et de la régulation des cours d’eau. Convaincu du bien-fondé de ses connaissances, il élabora de remarquables alternatives.

La réussite éclatante de ses réalisations lui valurent pendant une très courte période la considération des milieux dirigeants.

Seulement voilà, dans les années cinquante, on assista à un engouement grandissant pour les pesticides et les engrais, qui permettaient d’accroître la production en très peu de temps. Pendant longtemps on refusa de voir que, pour maintenir ces taux de rendement, il fallait augmenter d’année en année les apports chimiques.

Aujourd’hui les effets négatifs de ces innovations tant prisées sont partout observables, tant dans la nature qu’au niveau de la santé humaine.

Viktor Schauberger, ce précurseur qui, à l’aube du 20e siècle, avait déjà mis en garde contre les catastrophes prévisibles, est plus que jamais d’actualité. Sa pensée imprégnée de méditation et complètement marginale suscite un enthousiasme croissant. Ses idées et ses découvertes se répandent dans le monde entier.

Notre entreprise, Kupfer-Anton, concentre l’essentiel de son activité sur les outils de jardinage et le matériel agricole en cuivre. Nous serions heureux de voir leur emploi se développer et susciter l’enthousiasme des amoureux de la nature, en leur offrant toujours plus d’informations et de rapports sur les expériences effectuées.

Si vous souhaitez davantage d’informations sur la vie et l’œuvre de Viktor Schauberger, contactez-nous.

 

Les outils en cuivre

Les outils d’origine en cuivre, élaborés par la société PKS, sont de fabrication artisanale. Il sont faits entièrement à la main par un maître forgeron autrichien, qui utilise pour cela un alliage de cuivre et d’étain, dans lequel le cuivre entre pour 92 % dans la composition.

Cet alliage est renforcé à froid (par martelage), pour permettre au matériau d’acquérir la résistance nécessaire.

Avant l’obtention du produit fini, sept étapes sont nécessaires : coupe, martelage, soudure, trempage, aiguisage, polissage et pose des manches.
Les manches sont fabriqués en frêne, hêtre ou tilleul par un tourneur expert en tradition.

Les outils en cuivre sont parfaits pour les travaux de jardinage quotidiens. Le cuivre est un métal élastique, résistant aux chocs, même dans les situations difficiles. S’il a été tordu, on peut le réparer sans problème par martelage.

Ces outils de grande qualité, qui participent activement à l’amélioration des sols dans le sens voulu par la nature, sont fabriqués avec le plus grand soin et reçoivent toute l’attention qu’ils méritent, tant au cours de leur fabrication que dans leur diffusion.

Et c’est dans le même respect de leur valeur que l’utilisateur pourra s’en servir pendant de nombreuses années dans son jardin.

 

 

Un sol naturel est maintenu sous tension par la bipolarité qui règne entre la terre et l’atmosphère.

Sans cette tension présente dans le sol, les métabolismes naturels ne peuvent se produire. Or ce sont eux qui vont permettre aux plantes d’absorber régulièrement le mélange obtenu à travers les échanges entre eau, substances nutritives et atmosphère. C’est la raison pour laquelle un sol sous tension est en mesure de pourvoir durablement à ses besoins – sans apports d’engrais artificiels. Le travail du sol avec des outils en cuivre engendre cette tension. Ces outils favorisent naturellement le maintien de l’eau et des substances nutritives.

Il n’en va pas de même avec le fer, dont le magnétisme détend le sol. L’eau présente dans le sol va s’enfoncer vers les couches inférieures. Les sols ainsi desséchés ne peuvent plus subvenir suffisamment aux besoins des plantes en matières nutritives et les rendements diminuent d’autant.

Il faut savoir que :

Tous les outils – qu’ils soient en fer ou en cuivre – dispersent pendant le travail, suite aux frottements mécaniques, de fines particules métalliques dans le sol. Le cuivre étant un oligo-élément majeur, ses particules participent activement à la croissance et à la santé des plantes. Par contre, les particules de fer laissent dans le sol un voile de rouille extrêmement nuisible, qui a pour effet de détendre durablement le sol et de l’assécher.

Les conséquences négatives des outils en fer sont incontestables :

Il faut accroître chaque année l’emploi des engrais chimiques pour enrichir les sols. Les plantes artificiellement soignées, devenues sensibles aux maladies et aux attaques des parasites, devront être traitées au moyen de pesticides – dont les pulvérisations nuisent à l’homme et à l’environnement. Des chercheurs du monde entier ont prouvé les effets positifs du cuivre sur les plantes.

 

Viktor Schauberger avait reconnu ce que représentait le cuivre

Viktor Schauberger avait reconnu, à travers ses observations et grâce à son intuition, ce que représentait le cuivre. Ses nombreux essais en agriculture prouvèrent que le cuivre contenu dans le sol favorisait la croissance des plantes et renforçait leur santé.

Du temps de Schauberger, cette thèse ne suscita que peu d’intérêt, si grand était l’enthousiasme soulevé par l’arrivée des engrais et traitements chimiques.

Entre-temps cependant des recherches effectuées à l’échelle mondiale confirmèrent l’importance du cuivre. Dans le livre richement documenté, édité par l’institut allemand du cuivre (Kupfer in der Landwirtschaft – 1ère édition 1988 – ISBN 3-921505-062) les auteurs aboutissent aux conclusions suivantes.

Le cuivre est indispensable à la saine croissance et à la reproduction des plantes et des animaux. S’il vient à manquer, les rendements peuvent diminuer de 20 %. De plus, il a été prouvé qu’un apport suffisant en cuivre augmente la capacité de reproduction de pratiquement toutes les sortes de plantes, ainsi que leur résistance aux maladies.

Dans l’état actuel des choses, les engrais et pulvérisations ont trop enrichi la teneur du sol en cuivre. Or, un apport inconsidéré peut entraîner une saturation nuisible pour les plantes.

Les fines particules de cuivre libérées pendant le travail de la terre par ces nouveaux outils de jardin permettent de réaliser très simplement l’apport idéal.

 

Nouvelle technologie

Au cours du printemps et de l’été 2003, quel est l’amoureux de la nature qui n’a pu remarquer avec tristesse la disparition de nombreux essaims d’abeilles, ou en avoir été informé par les médias.

Kupfer-Anton s’est également penché sur le problème et a pu constater au cours de ses recherches que Viktor Schauberger avait livré sur le sujet de précieuses informations, qui ne demandaient qu’à être utilisées pour élever des abeilles résistantes et en pleine santé, dans l’intérêt de l’homme comme dans celui de la nature.

Les lecteurs de Viktor Schauberger seront sans doute surpris et objecteront à juste titre que celui-ci n’a jamais rien écrit sur les abeilles. En fait, Viktor Schauberger a étudié très attentivement la forme à l’origine de la vie qui, selon lui, est celle de l’œuf:
le 0.

Cette forme est présente de manière significative dans la transmission de toute vie.

Voyons maintenant si cette affirmation de Viktor Schauberger est vérifiable dans la nature et chez l’homme, qui est relié à cette dernière. Nous constatons rapidement que la forme de l’œuf est directement ou indirectement prédominante dans tous les domaines en rapport avec la reproduction. le maintien de la vie. Chez l’être humain par exemple, tous les organes qui engendrent, développent et conservent la vie ont cette forme. Il en est de même chez les animaux et les plantes. Tout ce qui vit, bouge, se développe et s’épanouit passe directement ou indirectement par une étape dans laquelle cette forme intervient.

La nature développe naturellement des formes d’œuf.

Dans la nature, presque toutes les formes ont celle de l’œuf ou en découlent. On ne trouve pas de formes carrées. Même les lignes ne sont pas droites. Ne sont présentes dans la nature que des formes rondes et vivantes.

Nous les hommes avons contraint les abeilles à se développer dans un environnement totalement contre nature.

Le lecteur aura donc rapidement compris où se situe le problème. Les ruches actuelles et leur forme carrée vont totalement à l’encontre de la nature.

Les corbeilles en forme d’œuf utilisées par nos ancêtres offraient aux abeilles un espace de vie idéal. Il était par contre plus difficile de retirer les rayons pour en extraire le miel.

Mais maintenant, avec les techniques dont nous disposons, nous pouvons construire des ruches qui respectent la forme naturelle de l’œuf et d’où le miel peut être extrait sans problème. Il suffit simplement de penser autrement les choses. Comme le disait Viktor Schauberger : « Nous pensons de travers ». Habituons-nous à penser et à sentir en fonction de cette forme naturelle, vivante, dispensatrice de vie. Et ainsi notre propre pensée perdra peu à peu ses limites anguleuses.

Les habitations carrées ne respirent pas et ne vivent pas.

En approfondissant le thème des formes rondes et des formes carrées, nous découvrons d’énormes différences entre elles. La forme carrée est limitée, présente peu d’espace, a toujours un coin sombre dans lequel poussière et vermine peuvent s’accumuler. Même la circulation de l’air dans la pièce n’est pas bonne, du fait que les angles gênent cette circulation.

Essayez de vous enfermer nombreux dans une pièce quadrangulaire, sans fenêtre, avec des cloisons bien étanches, seule une petite porte restant ouverte pour permettre d’entrer et de sortir. Cet espace ne peut ni vivre, ni respirer. Il en va de même pour les abeilles.

A présent, faites la même expérience dans une pièce en forme d’œuf et observez. Au bout d’un petit moment, vous pourrez certainement faire la différence. Dans ce cas, il y a de l’atmosphère, l’air bouge, les énergies vitales sont plus libres, plus légères. Il n’y a pas de recoin pour retenir la poussière ou autre chose.

Pour construire et élargir en nous ces autres façons de voir et de penser, il suffit de prendre le temps de se rendre disponible et d’expérimenter dans la joie.

En ce moment nous travaillons sur un concept de ruches en forme d’œuf et vous tiendrons au courant sur notre site internet de l’avancement des travaux. Si vous souhaitez dès maintenant faire échange d’expériences, participer à nos recherches ou recevoir simplement des informations, nous serons heureux que vous preniez contact avec nous.